Découvre comment envoyer des requêtes AJAX avec jQuery sans douleur, avec des exemples fun, clairs et 100% geek-friendly.
Tu te souviens de l’époque où on rechargeait toute une page juste pour mettre à jour trois lignes de texte ?
Ouais, moi aussi j’ai des flashbacks traumatisants de PHP 4 et de meta refresh.
Heureusement, un jour, le dieu des devs a dit : /"Que l’AJAX soit !"/
Et là-dessus, jQuery a débarqué comme un cheat code qui te file des super-pouvoirs pour manipuler tes pages /sans reload./
Prêt ? On branche la manette et on attaque.
🧙♂️ Qu’est-ce que l’AJAX ? (et non, ça ne se mange pas)
Non, ce n’est pas une lessive ni un perso de League of Legends.
AJAX = /Asynchronous JavaScript and XML./
En français ? Ça veut dire “faire causer ton navigateur avec ton serveur /sans forcer un refresh de page”/.
Tu demandes, ton serveur répond, et paf, ton site s’actualise comme par magie.
C’est comme une /chatbox en 2005/ mais sans MSN Messenger.
🚀 Méthode 1 : La requête AJAX made in jQuery
La base. Un
$.ajax()et tu deviens le roi du pétrole.
$.ajax({ url: "https://api.example.com/data", type:
"GET", success: function (reponse) {
console.log("Victoire !", reponse); },
error: function () { console.log("Game Over..."); } });
Ici :
url → ton endpoint magique.
type → GET, POST, DELETE (oui oui, tu peux ragequit ton serveur).
success → callback quand ça marche.
error → callback quand ça part en 404 digne d’un ragequit de Dark Souls.
🎮 Méthode 2 : le raccourci $.get() et $.post()
Parce que les devs sont fainéants (et qu’on a déjà assez de boutons dans League of Legends), jQuery nous file des raccourcis.
$.get("https://api.example.com/users",
function(data) { console.log("J’ai reçu :", data); });
$.post("https://api.example.com/users", { pseudo: "Mario" },
function(data) { console.log("Nouveau joueur :", data); });
Simple. Direct. Pas besoin de trois lignes de config.
C’est la /Pokéball/ de l’AJAX : tu balances et ça marche.
🛡️ Méthode 3 : avec $.ajax() version PRO gamer
Tu veux montrer que tu es un vrai, que tu codes avec une main pendant que l’autre lance une game sur Steam ?
Tu rajoutes des options badass.
$.ajax({ url: "/score", type: "POST", data: { player: "Link", points: 9999 },
dataType: "json", beforeSend: function() { console.log("Chargement... prépare le café"); },
success: function(reponse) { alert("Score enregistré : " + reponse.status); },
complete: function() { console.log("Requête terminée, tu peux reprendre Netflix."); } });
Là, tu contrôles tout : avant, pendant et après la requête.
Comme un speedrun parfaitement exécuté.
🤔 Mais pourquoi utiliser jQuery en 2025 ?
Bonne question, petit scarabée.
Aujourd’hui, tout le monde ne jure que par fetch() ou Axios.
Mais jQuery reste :
/plus simple/ pour du vieux projet legacy qui tourne encore sous PHP 5.6 (coucou).
/pratique/ pour du code rapide sans se prendre la tête.
/compatible/ avec les navigateurs dinosaures que ton client refuse de lâcher (oui, toi qui lis ça depuis IE11 👋).
🕹️ Conclusion : fais ton choix, dev Jedi
Alors oui, on est en 2025, mais jQuery n’est pas encore mort.
Si tu bosses sur un projet rapide, un site intranet, ou un vieux CMS qui traîne, /l’AJAX version jQuery/ reste une arme fiable.
Pas la plus sexy, mais comme un vieux Game Boy : ça marche toujours, même après être tombé dans les toilettes.
Moralité : garde $.ajax() dans ton sac à dos de dev. Tu ne sais jamais quand tu devras ressusciter un projet legacy.
M-binary