Tester Linux sans quitter Windows : le guide du geek feignant (merci WSL) Intro punchy

Mukaz
02 Oct 2025, 10:32
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3 Min de lecture
Interface Linux sur un fond noir

Tu as toujours voulu goûter aux joies de Linux (les terminaux badass, les apt-get install, les memes sur Arch Linux), mais… tu flippes à l’idée de formater ton disque dur ? Bonne nouvelle : Microsoft a inventé le cheat code ultime pour toi, ça s’appelle WSL (Windows Subsystem for Linux). En gros, tu peux lancer Ubuntu, Debian ou Kali comme si c’était… une appli Windows. Oui, oui, comme Candy Crush, mais avec plus de lignes de commandes et moins de bonbons.


WSL, késako ?


Imagine un Pokémon hybride entre Windows et Linux. D’un côté, tu as Windows qui fait tourner tes jeux Steam et ton Excel (parce qu’on sait que tu adores les macros chelous). De l’autre, tu as Linux qui te permet de jouer les hackers dans les films de série B avec des lignes de codes qui défilent à l’écran.
Eh bien, WSL c’est la Pokéfusion : tu ouvres un terminal Linux directement depuis ton bureau Windows. Pas besoin de machine virtuelle lourde comme une sauvegarde de GTA V, ni de partition obscure façon Dark Souls. Tu cliques, ça s’installe, et boum, te voilà admin système d’un serveur imaginaire.


Comment installer WSL (sans invoquer le démon du BIOS)


Allez, on rentre dans le concret. Voilà le tuto façon speedrun :
Clique sur Activer ou désactiver des fonctionnalités Windows.
Coche la case Sous-système Windows pour Linux (ça fait très cheat code, genre God Mode).
Redémarre ton PC. (Oui, encore. C’est Windows, pas Linux).
Ouvre le Microsoft Store, télécharge ta distrib préférée : Ubuntu, Debian, Kali, au choix.
Lance-la, crée ton user, tape deux-trois commandes. Et voilà : t’es officiellement devenu un pingouin sous Windows.

Pro-tip : tu peux même lancer des commandes Linux et des applis Windows en parallèle. Genre taper un ls puis ouvrir Paint. Oui, la vie est belle.


Mais à quoi ça sert, sérieux ?



Pour les devs : tu testes ton code dans un vrai environnement Linux sans quitter ton PC gamer.
Pour les admins : tu joues avec des outils réseau (nmap, curl, etc.) sans installer une VM de 15 Go.
Pour les curieux : tu découvres Linux sans risquer de pleurer parce que ton disque dur a disparu.
Pour les trolls : tu peux enfin dire à tes potes « j’utilise Linux »… même si ton fond d’écran est un logo Windows 11 en 4K.
Bref, WSL, c’est la passerelle idéale entre deux mondes. Un peu comme Gandalf qui dit « vous ne passerez pas », sauf que là… tu passes tranquille.


Conclusion qui pique


Alors, qu’est-ce que t’attends ? Installe ta première distrib, tape ton premier sudo apt update et ressens la puissance obscure du terminal. Tu verras, après ça, retourner à Windows pur et dur te semblera aussi fade qu’une partie de Pong en 2025.
Et qui sait, peut-être que dans quelques semaines tu feras partie de la secte « J’ai tout migré sous Arch Linux ». Mais chut… commençons simple avec WSL.

Les rêves ne se réalisent que si vous croyez en eux. – Walt Disney

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